Sécurité au quotidien......

Objets trouvés

 

Les objets trouvés sont déposés au Service Proximité-Sécurité :

rue du grand quai 76700 Harfleur -  tél. 02 35 13 30 60

Horaires d'accueil :

Du lundi au vendredi de 8h à 12 et de 14h à 17h

La Police Municipale

 

Le Service Municipal de Sécurité Urbaine, qui compte 5 agents (un responsable de service, 2 policiers municipaux, 2 agents chargés du stationnement), n’a pas vocation à se substituer aux services de la Police Nationale chargée du maintien de l’ordre public et de la sécurité des biens et des personnes, missions incombant à l’État.

 

Ce service est plus particulièrement chargé de l’application des arrêtés municipaux, du respect du code de la route, de la loi sur les chiens dangereux, et de la sécurité aux abords des établissements scolaires.

 

Il intervient au quotidien pour assurer un relais de proximité entre la population et les services de police et de justice. Dans ce deuxième domaine, il s’agit avant tout de prévention, d’information et de médiation, notamment dans les conflits de voisinage.

 

La convention de coordination entre les services municipaux et ceux de l’État signée en avril 2002 permet des rencontres régulières (une fois tous les trois mois) avec les pouvoirs publics (Police Nationale, Justice, Sous-Préfecture), et précise la nature et les lieux des interventions des Agents de Police Municipale.

 

Elle détermine les modalités selon lesquelles ces interventions sont coordonnées avec celles des forces de sécurité de l’État. 

La Police Nationale

 

19 agents compétents pour intervenir sur les communes d’Harfleur, Gonfreville l’Orcher et Gainneville.

 

Ouverture au public du lundi au vendredi : 8h30/12h et 14h/18h30

 

En dehors des horaires d’ouverture du commissariat d’Harfleur, appeler le Commissariat Central au 02 32 74 37 00.

 

• Vous êtes victime d’une agression, d’un vol, d’une atteinte à vos biens ou de nuisances ? Il est indispensable de vous rendre au commissariat pour porter plainte ou déposer une "main-courante".

 

• Vous êtes témoin ? Votre signalement aux services de Police peut contribuer à résoudre des procédures en cours.

Les risques majeurs sur Harfleur

 

La commune d’Harfleur est exposée à :

 

DES RISQUES NATURELS

1/ Inondation : 

Située dans les vallées de la Lézarde, de la Fontaine et du Saint-Laurent, la commune de Harfleur est concernée par des risques d’inondation liés au débordement des cours d’eau, ainsi qu’à des phénomènes de ruissellement des eaux pluviales provenant des plateaux environnants.

 

2/ Mouvement de terrain :

* « Un mouvement de terrain est un déplacement plus ou moins brutal du sol ou du sous-sol. Il est fonction de la nature et de la disposition des couches géologiques. Il est dû à des processus lents de dissolution ou d’érosion favorisés par l’action de l’eau et de l’homme.

Il peut se traduire par :

• des glissements de terrain sur des versants instables
• des écroulements en masse et chutes de pierres et de blocs
• des affaissements et effondrements de cavités souterraines

Il existe sur l’ensemble du département un risque potentiel d’affaissement plus ou moins brutal de cavités souterraines naturelles ou artificielles (carrières, marnières…).

En effet, l’exploitation souterraine de la marne, du sable, du silex ou de l'argile s’est pratiquée jusqu’en 1940.

De nombreux effondrements de terrain se produisent régulièrement après des pluies hivernales, avec une intensification depuis 1995. »

(*extrait du DICRIM)

DES RISQUES TECHNOLOGIQUES

1/ Industriel :

Le territoire inclus dans le périmètre d'étude du PPRT (Plan de Prévention des Risques Technologiques) est susceptible d'être soumis aux effets de plusieurs phénomènes dangereux (effets de surpression, thermiques, toxiques) engendrés par les établissements comme ERAMET (Sandouville), LUBRIZOL (Oudalle), TOTAL (Gonfreville l’Orcher), YARA (Gonfreville l’Orcher), CHEVRON ORONITE (Gonfreville l’Orcher)

 

2/ Transport de matières dangereuses :

* Les risques associés au transport de matières dangereuses (TMD) résultent des possibilités de réactions physiques et/ou chimiques des matières transportées en cas de perte de confinement ou de dégradation de l’enveloppe les contenant (citernes, conteneurs, canalisations, colis…). Ces matières dangereuses peuvent être inflammables, explosives, corrosives ou radioactives.

 

La commune est concernée par : 

• le transport routier : les principaux axes concernés sont les routes départementales RD n° 34, n° 489, n° 925, n° 982, n° 6015 et n° 6382.
• le transport ferré : la SCNF entend par trafic de matières dangereuses des convois composés enmajorité de wagons de produits dangereux. La ligne ferroviaire qui traverse la commune est utiliséepour un transport régulier de matières dangereuses.
• des canalisations souterraines : la commune est traversée par des canalisations de transport de
• gaz exploitées par la société GRTgaz et des canalisations d’hydrocarbures exploitées par l’ODC, la CIM et la SHMPP.

(*extrait du DICRIM)

Que faire en cas d'alerte - Le DICRIM

 

Le DICRIM (Document d’information communal sur les risques majeurs)

 

*« Madame, Monsieur,

 

Comme toutes les communes, Harfleur est exposée à des risques majeurs, naturels et technologiques, directement liés à sa situation géographique (entrée d’agglomération), géologique (nature de ses sols), hydrologique (présence de rivières) ou à son environnement proche (zone industrialo-portuaire).

 

En cas d’accident ou de catastrophe naturelle, vous pourriez être directement concerné par leurs conséquences. Aussi, en partenariat avec les services de l’État et de l’agglomération, nous avons souhaité mettre en place sur le plan local un D.I.C.R.I.M.

 

Ce Document d’Information Communal sur les RIsques Majeurs recense les mesures de sauvegarde que nous devons mettre en place pour répondre aux risques auxquels nous sommes soumis, ici, à Harfleur.

 

Pour chaque élément susceptible de nous menacer, un recensement précis du risque destiné à mieux le connaître pour l’appréhender a été établi. Des procédures ont été élaborées, un dispositif d’intervention et d’information a été prévu selon chacune des situations.

 

Notre démarche s’inscrit dans l’état d’esprit de la loi de modernisation de la Sécurité Civile du 13 août 2004. Celle-ci tend à rendre chaque citoyen acteur de sa sécurité. « Toute personne concourt par son comportement à la sécurité civile »

 

À titre préventif, le D.I.C.R.I.M. contient également les données locales, départementales et nationales nécessaires à votre bonne information. Plus les citoyens seront conscients et informés sur les phénomènes accidentels et naturels et sur leurs conséquences, moins la population sera vulnérable en cas de catastrophe.

 

Savoir pour mieux agir, prévoir pour moins subir, tels sont les objectifs de ce document qui a fait l’objet d’un travail important de nos services.

 

Nous espérons évidemment qu’il servira le moins possible, pour ne pas dire jamais, mais en cas de sinistre majeur nous pensons désormais disposer, avec votre soutien et votre collaboration, d’un dispositif capable de nous prémunir et de limiter les dommages avec une plus grande efficacité. »

Le plan communal de sauvegarde

 

Les communes, comme celle d'HARFLEUR, exposées à des risques majeurs identifiés doivent se doter du Plan Communal de Sauvegarde (PCS). 

 

*Le PCS, élaboré par le maire, détermine en fonction des risques connus, les mesures immédiates de sauvegarde et de protection des personnes. Il fixe à l’échelon communal l’organisation nécessaire à la diffusion de l’alerte et des consignes. Il recense les moyens disponibles et définit la mise en œuvre, par la commune, des mesures d’accompagnement et de soutien de la population.

 

Le PCS est obligatoire dans les communes dotées d’un plan de prévention des risques naturels prévisibles approuvé ou dans le champ d’application d’un plan particulier d’intervention arrêté. La mise en oeuvre du PCS relève de chaque maire sur le territoire de sa commune et doit être en cohérence avec les plans de secours départementaux établis par le préfet.

 

La commune de HARFLEUR a réalisé son Plan communal de sauvegarde en 2010.

(*extrait du DICRIM)